théâtre

Maëlle Poesy / Voltaire / Kevin Keiss

Candide, si c'est ça le meilleur des mondes...

07 → 24 janvier

Raconter, c'est déjouer le destin.

C'était ce qui a motivé Maëlle Poesy et Kevin Keiss lorsqu’ils ont décidé d’adapter Candide à la scène, l’envie de creuser la question : comment se construit une identité ? Raconter l’histoire de Candide, c’est suivre le parcours d’un antihéros qui décale notre lecture du monde. En embarquant avec lui dans ce voyage autour de la terre, sa quête devient notre quête : il est où « le meilleur des mondes » auquel nous aspirons ? Le Candide mis en scène par Maëlle Poesy fait l’expérience de la folie des hommes, de leurs absurdités mais aussi de la nécessité pour chacun de partager son histoire, avec l’assurance que raconter c’est déjouer le destin. Un Candide qui invente ce qu’il peut, comme il peut, pour résister à la violence du monde, entre inquisition et tremblement de terre.

Avec le soutien de l’Onda - Office national de diffusion artistique

[vidéo] • Le teaser de la pièce : Regarder ici

• Interview de Maëlle Poesy : Voir ici


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Voltaire’s caustic worldview is more pertinent than ever. But this is not what inspired Maelle Poesy and Kevin Keiss to adapt Candide for the stage. Rather, the production asks “How do we construct an identity?” Candide tells the story of an anti-hero whose experiences disrupt our reading of the world around us. Journeying within him around the globe, his quest becomes our quest: where is this “best of all worlds” to which we all aspire? Maelle Poesy’s staging of Candide explores human folly and absurdity, but also the individual’s need to share his or her story, safe in the knowledge that we trick fate itself in the telling. Poesy’s Candide does his best to find ways to resist the violence he sees all around, from the Inquisition to the celebrated Lisbon earthquake.