« Ainsi va la vie, entre enseignes flashy, parc aquatique et bistro, faite de menus plaisirs comme d'espoirs chimériques. » Gilles Renault - Libération
« Olivier Martin-Salvan tire des larmes aux spectateurs, il est prodigieux, il se met à nu sous le regard bienveillant de l'auteur (...). Tout entier au service de son verbe, le comédien est criant de vérité. » Nathalie Simon - Le Figaro
« Olivier Martin-Salvan s'empare avec gourmandise de la langue à l'envoûtante poésie du roman de Valérian Guillaume et donne de l'épaisseur au personnage. » Laurence Péan - La Croix
« L'adaptation scénique concoctée par Baudoin Woehl et Valérian Guillaume lui-même parvient à conserver la finesse originelle de la langue et de la dramaturgie. » Vincent Bouquet - Sceneweb
« Un road-movie péri-urbain pour héros lambda et banal d'une Odyssée chaotique intérieure. » Véronique Hotte - Hotellotheatre
« Une interprétation puissante et sensible » Annie Chénieux - autheatreetailleurs.com
♫ À la Radio
Ça se passe à Paris - France Bleu Paris
émission du 2 avril - Johann Guerin
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À propos du roman
« C'est une longue phrase sans point ni virgule. Le monologue d’un homme qui vit seul avec les cendres de sa mère et promène ses tristesses dans la Grande Galerie, un immense centre commercial. (...) Cette vie au pays des merveilles de la consommation serait belle si le garçon sans nom n’était habité par un démon insatiable qui le pousse à tout dévorer, jusqu’à la nausée. « Mon démon s’est mis à faire carnage de tout et j’ai morvé bleu j’ai fait des prières et j’ai pleuré des étoiles en regardant par la fenêtre », écrit Valérian Guillaume, jeune auteur venu du théâtre. Porté par une langue originale, son premier roman se lit d’un seul souffle. » Sophie Joubert - l'Humanité
